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2ème Étape

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LES MUSÉES Plaza de Cibeles Puis, nous descendrons Recoletos et nous traverserons la Place de Cibeles (L’un des emblèmes de Madrid) où nous ferons une petite visite au Palais de Communications, et nous monterons jusqu’à la terrasse pour y admirer Madrid du haut du palais. Nous arriverons au Paseo del Prado et visiterons l e musée    du même nom. C’est le joyau de l’art classique à Madrid, riche de tableaux européens datant du XVIème s au XIXèm s.  Les principales oeuvres exposées font partie des la peintures espagnole, italienne, flamande, hollandaise, française, allemande, et anglaise. Nous y admirerons Velazquez, Goya, Tiziano, Jerónimo Bosco et beaucoup d’autres. Nous quitteron le musée à l’heure du déjeuner; c’est le moment de soigner nos estomacs et de mettre le cap vers  le musée du jambon   pour y casser un peu la croûte.  Une fois notre énérgie retrouvée, nous continuos notre visite et nous dirigeons au  musée Thyssen Bornemisza  né de l’acquisitions d

3ème. Étape

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Le vieux Madrid El oso y el madroño. Puerta del Sol L’objectif de notre prochaîne étape est le Madrid Ancien appelé “Madrid de los Austria”, c’est à dire, de la famille royale originaire d’allemagne. Nous pensons, bien entendu, à Charles V et son fils Philippe II principalement. Nous marchons jusqu’à La Puera del Sol, appelée “Sol”; nous y trouverons la statue de l’ours et de l’arbousier   (encore un emblème de Madrid), et le Km 0 des routes espagnoles. On prend la rue Arenal afin d’arriver à l’église, la librairie et la chocolatérie San Ginés, puis à la Place d’Isabelle II, davantage connue comme La Place de l’Opéra, puisque c’est là où se trouve le Théatre Royal (Teatro Real). On passera derrière le théatre pour admirer le Palais Royal, et le jardín orné des statues des rois Goths; on continuera vers la cathédrale de La Almudena que l’on ppourrait visiter également si le coeur nous en dit. Ensuite, nous remontons la rue Mayor jusqu’à la Place de la Ville, où se

Dernière Étape.

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La vie nocturne Parmi toutes les zones de loisirs existentes à Madrid, Ramon a choisi celle de Malasaña, et la rue Montera. Notre point de départ sera la Place Deux Mai (Dos de Mayo,   ou Dosde), bâtie en conmémoration du soulèvement des madrilènes contre les troupes de Napoléon. C’est une place très fréquentée du printemps à l’automne; entourée de terrasses, il est fort agréable de s’y installer et de boire une petite bière, manger un peu et discuter avec des amis. Comme anecdote, nous pourrions visiter le restaurant “Pepe botella”, surnom par lequel était connu le frère de Napoléon, José Bonaparte . Apparemment il aimait picoler un peu, et magré avoir été imposé par son frère comme roi d’Espagne, n’était peut-être pas aimé, mais assez respecté des Madrilènes. Plaza del Dos de Mayo Ceci fait, nous descedrons à pied la rue San Bernardo, ou la rue Fuencarral où nous trouverons un chand choix pour y faire une halte sur notre chemin. Arrivés à Gran Vía, nous la reont

Visite touristique. MADRID

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PRÉSENTA TION      Ramón, Ángel, Nacho et Juan, incorporent leurs effors à la série de travaux de fin d’année. Cette fois-ci, ils nous prennent de la main pour nous emmener dans une visite dans leur Madrid. C’est un tour touristique qui pourrait très bien se dérouler en un seul jour; peut-être un peu fatiguant, mais sans aucun doute, intéressant. Juan est un vrai fana du foot-ball, et plus exactement du  club du Real Madrid; donc nous commençons notre visite par le stade Santiago Bernabeu en plein boulevard de la Castellana (Paseo de la Castellana). C’est dix heures du matin et notre visite comprend la salle des trophés, les vestiaires, et la pelouse oú nous marcherons un petit peu; il serait probable que l’émotion de nous trouver dans ce sanctuaire  du foot, nous transporte à l’atmosphère grouillante et vibrante des match. Ensuite, vers midi, nous descendrons sur La Castellana jusqu’au musée de cire, né le 15 février 1972, et situé sur un lateral de la

Novela del AZAFRÁN

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PRESENTACIÓN Junio es el mes en el que culmina el trabajo realizado por un grupo de estudiantes durante el curso, y ahora nos encontramos con la tarea final como ilustración de sus esfuerzos. A principio de curso les propuse estudiar un libro, como material complementario a sus clases de idioma en las que, además de la gramática, nos acercamos a la cultura y la civilización españolas. El libro escogido se titula “Azafrán” de José Manuel García Marín. El interés de esta novela estriba en introducirnos a las tres culturas que convivieron en España durante varios siglos, es decir, la musulmana, la judía y la cristiana. Azafrán es un texto excelentemente documentado, de fácil lectura y muy instructivo. El relato incluye un léxico muy rico y erudito que, lejos de parecer pedante, nos lleva de la mano al idioma grabado en nuestras mentes por haberlo estudiado en el colegio, o haberlo oído a  nuestros abuelos Portada y contraportada  (Ed. Roca) La historia de esta novela

DE SANLÚCAR DE ALPECHÍN (Sanlúcar La Mayor) HASTA SEVILLA

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Primera etapa del viaje Una parte del grupo se encuentra ausente por diferentes razones; los que quedan, deciden ambientarse en La Casa Árabe antes de continuar con su estudio. Mukhtar es un maestro musulmán converso, forzado a practicar su religión a escondidas. Cansado de los abusos de los cristianos, abandona su pueblo –situado en el Aljarafe sevillano- con la intención de dirigirse a Gharnata. Se pone en camino y durante la noche, siente un fuerte dolor de oído que le obliga a buscar un médico en Ishbiliya.  Calle Rodrigo Caro (Sevilla) Allí conocerá al médico musulmán Târek Ibn Karim, quien le acoge en su casa y – para que la conciencia de Mukhtar esté en paz- le propone que realice unas copias de recetas antiguas, so pretexto de pagar los cuidados médicos y el alojamiento. Mukhtar acompaña a Târek y a su sirvienta Zaynab, en la cena del 1º de Muharram del año nuevo, es decir el año 650 de la hégira. Zaynab es una chica musulmana recogida por Târek y ví

DE ISHBILIYA A QURTUBA

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SEGUNDA ETAPA DEL VIAJE Comenzamos la segunda etapa del viaje ambientados en el restaurante marroquí Al-Munia, y recordando a Amir que no pudo unirse a nosotros debido a un viaje de trabajo. Por esa razón, le enviamos un cariñoso saludo mientras nos afanábamos con la deliciosa repostería típica. En Córdoba, Mukhtar se presenta en casa del Rabí Yonatán ben Akiva, con una carta de presentación escrita por Târek ibn Karim. Mukhtar conocía muy poco el entorno judío, aunque sí sabía que el nombre que ellos daban a Al-Andalus era el de Sefarad, y que mucha gente no sentía simpatía por ellos. El rabino le acogió cortés y efusivamente ,alegrándose de que le enviara su amigo Târek. Después de una primera conversación, ben Akiva adivinó fácilmente que el viaje de Mukhtar correspondía a algo más que un desplazamiento físico, algo así como un aprendizaje interior, por lo que le sugirió que no tuviera prisa en ponerse en camino nuevamente y se alojase en su casa, en la que sobraba es