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Comentario de Consuelo Triviño

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  Una vida sencilla en una época convulsa, Mirada Malva, 2015 Aunque este libro trate de una vida sencilla, no es sencillo para mí expresar lo que me suscita volver a leerlo después de un tiempo, ya que tuve el privilegio de asistir a su proceso de escritura. Su origen es el testimonio oral de Mariano, padre de Elvira Martín. El libro es el resultado de un trabajo de ordenación, de reelaboración del testimonio. En el se entrecruzan la historia, la biografía y la realidad social. Además, se literatuliza la experiencia vivida por el padre. Como mediadora, Elvira Martín respeta su prosa desnuda y directa para no falsear el mensaje que el protagonista aspira a trasmitirnos, lo que logra con gran habilidad. El padre se dirige a la hija que se pregunta por los orígenes y con la serenidad a que da lugar el paso del tiempo, se permite el humor para conjurar los sufrimientos pasados. El testimonio es entrañable y doloroso, toca las fibras más profundas. Conmueve la hond

Acto de Presentación Pública

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Presentación del libro Una vida sencilla en una época convulsa de Elvira Martín el próximo día 23 de noviembre a las 20:00 horas . Se adjunta invitación al acto.   Una vida sencilla en una época convulsa (narrativa) Autora: Elvira Martín Editorial: La Mirada Malva, 1ª edic., 2015 LUGAR PRESENTACIÓN : Sede CC.OO. c/Fernández de la Hoz nº 12-3º planta. 28010 MADRID INTERVENDRÁN EN EL ACTO: Consuelo Triviño Anzola, escritora y ensayista colombiana Elvira Martín, autora M. Ángeles Vázquez, Editorial La Mirada Malva SOBRE LA AUTORA Elvira Martín . Es licenciada en filología francesa, y experta en la enseñanza del español para extranjeros. La docencia la ha acercado a los estudiantes en su aclimatación a una cultura y mentalidad ajenas, siempre respetando su cultura y mentalidad iniciales. Ferviente lectora desde la niñez, siempre ha sentido fascinación por la escritura, razón por la cual y en paralelo a la enseñanza, ha desarrollado

Presentación de Periódico y Tareas. Journal et Études

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2ème Étape

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LES MUSÉES Plaza de Cibeles Puis, nous descendrons Recoletos et nous traverserons la Place de Cibeles (L’un des emblèmes de Madrid) où nous ferons une petite visite au Palais de Communications, et nous monterons jusqu’à la terrasse pour y admirer Madrid du haut du palais. Nous arriverons au Paseo del Prado et visiterons l e musée    du même nom. C’est le joyau de l’art classique à Madrid, riche de tableaux européens datant du XVIème s au XIXèm s.  Les principales oeuvres exposées font partie des la peintures espagnole, italienne, flamande, hollandaise, française, allemande, et anglaise. Nous y admirerons Velazquez, Goya, Tiziano, Jerónimo Bosco et beaucoup d’autres. Nous quitteron le musée à l’heure du déjeuner; c’est le moment de soigner nos estomacs et de mettre le cap vers  le musée du jambon   pour y casser un peu la croûte.  Une fois notre énérgie retrouvée, nous continuos notre visite et nous dirigeons au  musée Thyssen Bornemisza  né de l’acquisitions d

3ème. Étape

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Le vieux Madrid El oso y el madroño. Puerta del Sol L’objectif de notre prochaîne étape est le Madrid Ancien appelé “Madrid de los Austria”, c’est à dire, de la famille royale originaire d’allemagne. Nous pensons, bien entendu, à Charles V et son fils Philippe II principalement. Nous marchons jusqu’à La Puera del Sol, appelée “Sol”; nous y trouverons la statue de l’ours et de l’arbousier   (encore un emblème de Madrid), et le Km 0 des routes espagnoles. On prend la rue Arenal afin d’arriver à l’église, la librairie et la chocolatérie San Ginés, puis à la Place d’Isabelle II, davantage connue comme La Place de l’Opéra, puisque c’est là où se trouve le Théatre Royal (Teatro Real). On passera derrière le théatre pour admirer le Palais Royal, et le jardín orné des statues des rois Goths; on continuera vers la cathédrale de La Almudena que l’on ppourrait visiter également si le coeur nous en dit. Ensuite, nous remontons la rue Mayor jusqu’à la Place de la Ville, où se

Dernière Étape.

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La vie nocturne Parmi toutes les zones de loisirs existentes à Madrid, Ramon a choisi celle de Malasaña, et la rue Montera. Notre point de départ sera la Place Deux Mai (Dos de Mayo,   ou Dosde), bâtie en conmémoration du soulèvement des madrilènes contre les troupes de Napoléon. C’est une place très fréquentée du printemps à l’automne; entourée de terrasses, il est fort agréable de s’y installer et de boire une petite bière, manger un peu et discuter avec des amis. Comme anecdote, nous pourrions visiter le restaurant “Pepe botella”, surnom par lequel était connu le frère de Napoléon, José Bonaparte . Apparemment il aimait picoler un peu, et magré avoir été imposé par son frère comme roi d’Espagne, n’était peut-être pas aimé, mais assez respecté des Madrilènes. Plaza del Dos de Mayo Ceci fait, nous descedrons à pied la rue San Bernardo, ou la rue Fuencarral où nous trouverons un chand choix pour y faire une halte sur notre chemin. Arrivés à Gran Vía, nous la reont

Visite touristique. MADRID

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PRÉSENTA TION      Ramón, Ángel, Nacho et Juan, incorporent leurs effors à la série de travaux de fin d’année. Cette fois-ci, ils nous prennent de la main pour nous emmener dans une visite dans leur Madrid. C’est un tour touristique qui pourrait très bien se dérouler en un seul jour; peut-être un peu fatiguant, mais sans aucun doute, intéressant. Juan est un vrai fana du foot-ball, et plus exactement du  club du Real Madrid; donc nous commençons notre visite par le stade Santiago Bernabeu en plein boulevard de la Castellana (Paseo de la Castellana). C’est dix heures du matin et notre visite comprend la salle des trophés, les vestiaires, et la pelouse oú nous marcherons un petit peu; il serait probable que l’émotion de nous trouver dans ce sanctuaire  du foot, nous transporte à l’atmosphère grouillante et vibrante des match. Ensuite, vers midi, nous descendrons sur La Castellana jusqu’au musée de cire, né le 15 février 1972, et situé sur un lateral de la